Des femmes en témoignent

Le premier jour de la semaine

Se hâtant et non à la traîne,

En voulant embaumer leur Maître

Mais il faudrait bien se l’admettre

Qu’aucun soldat ne veut laisser

Entrer, dans ce tombeau fermé

Deux femmes qui sont désespérées ;

Ne pensant ni ne soupçonnaient,

Que la pierre a été roulée !

Qu’elles étaient libres d’y entrer !

Lorsqu’enfin elles y pénétrèrent,

L’étonnement n’a duré guère

Qu’un instant, car un ange paraît

Disant : « Il est ressuscité ! ».

Troublées, effrayées, elles s’enfuirent

Ne pouvant parler ni ne dire

A personne ce qu’elles ont vécu

Alors que la mort est vaincue

Par le Dieu qui s’appelle Jésus,

S’est révélé en temps voulu

A ses disciples réunis

Ne croyant pas « Celui qui vit »

Lorsque les femmes leur ont tout dit

Ces choses que Jésus a prédit (es) !

Il reprocha leur manque de foi,

Leur incrédulité, maintes fois.

Car si des témoins ont parlé

C’est pour leur dire la vérité.

Toi qui veux connaître Jésus-Christ

Ecoute ceux qui parlent de sa part,

Arrête de croire au pur hasard.

Les disciples finissent par admettre,

Lorsqu’ils ont vu leur propre Maître

Leur enseigner encore des jours

Leur démontrant avec amour

Qu’il faut qu’il parte pour de bon,

Vers son Père au ciel qui l’attend ;

 

Mais il leur a fait une promesse

Qui va leur donner la hardiesse,

Le Saint-Esprit viendra sur eux

Pour les baptiser comme un feu

Afin qu’ils annoncent la parole

En entrant ainsi dans leur rôle

De disciples et témoins à la fois

Sans avoir ni peur ni effroi

De dire l’espérance qui est en eux

En les transportant jusqu’aux cieux !

Toi qui lis maintenant ces lignes,

Penses-tu peut-être, être trop digne

Pour t’abaisser à la prière

Ou bien tu dis : « Je n’ai que faire 

De ces propos et balivernes

Qui me dépassent et ne me concernent. »

Détrompe-toi et réfléchis

Que tu n’as qu’une courte vie ;

Vis-la intensément et crois

En ce Jésus qui est mort pour toi.

Car si ces choses s’avèrent vraies

Te rends-tu compte du regret

Que tu portes en toi pour toujours,

D’avoir raté ce grand amour !

Car lorsque la mort sonnera,

C’est bien fini le  : « Mea culpa »,

Tu as choisi ton propre camp

Alors tu partages avec Satan

En guise de ton jugement,

L’enfer, le lieu de tout tourment.

Mais je t’invite, une fois encore

A revenir et croire très fort

En ce Jésus qui t’offre la vie

Redresse-toi et va vers Lui !

Poème écrit par Sylvia IBRAHIM

 

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